Soumission forcée : L’arrivée de Didier
La consigne était claire, précise, et sans appel : je devais être assis sur le banc droit à l’extérieur de la gare de Mont-de-Marsan à 9h15 pile, vêtu d’un simple débardeur et d’un jean moulant. Pas une minute de retard. Pas un geste de travers. Mon bus en provenance de Dax est arrivé à 9h00, et je me suis exécuté sans hésiter, les mains légèrement tremblantes. L’air était frais, presque vide—les collégiens et lycéens avaient déjà disparu dans leurs écoles, ne laissant que quelques voyageurs pressés et distants.
Et puis, il est arrivé.
9h15. Précis.
Une Peugeot 307 break noire s’est garée sous les arbres, à l’écart, comme un prédateur observant sa proie avant de fondre sur elle. Didier en est sorti—grand, mince, militaire, une chemise et un jean qui épousaient un corps taillé pour le commandement. Il s’est approché sans hâte, chaque pas calculé, chaque mouvement délibéré. Quand il s’est assis à côté de moi, je pouvais sentir l’autorité émaner de lui, une présence qui m’a immédiatement fait bander.
Il ne s’est même pas présenté. Il s’est simplement penché vers moi, sa bouche contre mon oreille, sa voix basse, rauque, impérieuse :
— « Tu es à moi à partir de maintenant. Tu es ma salope. »
Ses mots m’ont transpercé comme une lame. Pas une demande. Un fait.
— « Répète. »
Ma gorge était sèche, mais j’ai obéi, les mots sortant dans un souffle tremblant :
— « Je… je suis ta salope. »
Il a souri—un sourire froid, satisfait—avant de grogner :
— « Encore. Plus fort. Et cette fois, tu vas ajouter que tu feras tout ce que je veux, quand je veux, comme je veux. »
J’ai répété, la honte et l’excitation se mélangeant en moi, mon jean devenant trop serré pour contenir mon érection. Il a alors sorti un collier de cuir noir de sa poche, le tenant devant mes yeux comme un avertissement.
— « Une fois que tu l’auras mis, tu m’appartiendras. Complètement. Et tu m’obéiras. Sans discuter. »
Mes doigts ont tremblé en défaisant la boucle. Le cuir était froid et lourd contre ma peau, un poids symbolique et réel. Dès que le collier a cliqué autour de mon cou, Didier a saisi l’arrière de ma nuque, ses doigts s’enfonçant dans ma chair comme des griffes.
— « Maintenant, tu n’as plus de nom. Tu es Pute. Ma Pute. » Sa voix était un growl animal, un ordre qui ne tolérait aucune résistance. « Et tu ne me parles jamais sans y être invité. Tu exécutes. Point. »
Sa main a glissé dans mon dos, descendant jusqu’à mes fesses, me rappelant que je lui appartenais déjà. J’ai senti mon cœur battre à tout rompre, l’adrénaline et le désir se mêlant en une ivresse dangereuse.
— « Lève-toi. »
Je me suis exécuté, immédiatement. Il a sorti un trousseau de clés de sa poche et me l’a lancé.
— « Va à ma voiture. Porte passagère. Tu y trouveras un sac. Tu te déshabilles entièrement. Tout va dans le sac. Ensuite, tu mettras le short blanc qui est dans la boîte à gants. Et tu reviens vers moi. Nu. »
Sa voix n’admettait aucune réplique. J’ai marché vers la voiture, les jambes flageolantes, chaque pas me rapprochant de ma soumission totale. Dans la boîte à gants, le short blanc était ridiculement petit, presque transparent. Je me suis déshabillé rapidement, pliant mes vêtements avec des mains tremblantes avant de les fourrer dans le sac. Le short m’a serré comme une seconde peau, exposant tout de moi.
Quand je suis sorti de la voiture, Didier m’attendait, les bras croisés, un sourire cruel aux lèvres.
— « Tourne-toi. »
J’ai obéi, le vent frais caressant ma peau nue. Il a inspecté chaque centimètre de mon corps, ses yeux brûlant de possession.
— « Parfait. Maintenant, tu vas me faire signe. Puis tu remontes dans la voiture. Et tu m’attends. »
Je me suis exécuté, le cœur battant, avant de me rasseoir dans la voiture, exposé, vulnérable, et déjà entièrement à lui.
La discipline commence : Sur la route
Didier a démarré la voiture, sa main se posant immédiatement sur ma cuisse, ses doigts remontant vers mon entrejambe avec une possession brutale.
— « Tu ne bouges pas. Tu ne parles pas. Tu ne me touches pas sans permission. » Sa voix était un coup de fouet. « Si tu désobéis, tu seras puni. Sévèrement. »
J’ai hoché la tête, la peur et l’excitation se battant en moi. Sa main a saisi mon érection à travers le short, serrant juste assez pour me faire gémir.
— « Tu vas apprendre à me caresser correctement quand je conduis. » Il a sorti un bâton de bambou de sous son siège, le frottant entre ses doigts avant de me lancer un regard glacial. « Et si tu merdes, tu sauras ce que ça fait. »
J’ai senti la menace dans ses mots. J’ai tendu la main vers son entrejambe, les doigts tremblants, cherchant son érection à travers le tissu de son pantalon. Il a grogné d’approbation, mais quand j’ai osé trop appuyer, le bambou s’est abattu sur ma poitrine, juste au-dessus du téton gauche.
— « DOUCEMENT. » Le coup était sec, précis, une douleur fulgurante qui m’a coupé le souffle. « Tu caresses. Tu ne forces rien. »
J’ai obéi, les larmes aux yeux, mes doigts effleurant son sexe à travers le tissu. Il a ajusté son siège, son souffle devenant plus rauque à chaque caresse. Puis, soudain, il a ralenti, prenant une route de campagne.
— « Arrête. »
J’ai retiré ma main, immédiatement. Il a garé la voiture sur le bas-côté, reculant son siège au maximum avant de défaire sa braguette.
— « À genoux. »
Je me suis précipité, tombant à genoux sur le gravier, les cailloux s’enfonçant dans ma peau. Il a saisi mes cheveux, me forçant à regarder son sexe dressé, veineux, imposant.
— « Tu vas me sucer. Mais d’abord, tu ...
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