Chambéry, un dimanche d’automne, fin d’après-midi. Le ciel est lourd, chargé de nuages gris qui écrasent les montagnes environnantes. J’ai rendez-vous au bord d’une départementale discrète, un coin paumé entre forêts denses et champs déserts, là où les phares des voitures percent à peine l’obscurité naissante. Trois mecs, des actifs purs et durs, m’attendent. On s’est chauffés pendant des jours sur une appli, messages crus, photos explicites, promesses de me démonter sans pitié. Je suis leur salope, leur jouet, et je kiffe l’idée. Mon cœur cogne, ma gorge est sèche, mais ma queue pulse déjà dans mon jean trop serré.
Je gare ma caisse à l’écart, sur un chemin de terre boueux. Leur SUV est là, phares éteints, silhouette menaçante. Trois ombres en descendent, et putain, ils en imposent. Le premier, un brun baraqué, la trentaine, torse large sous un t-shirt moulant, jean tendu par une bosse prometteuse. Le deuxième, plus sec, genre coureur de fond, cheveux rasés, regard perçant, une vibe de mec qui prend ce qu’il veut. Le troisième, un grand blond, tatoué, muscles saillants, une aura de dominant qui me fait frissonner rien qu’en croisant ses yeux. Ils me matent comme des prédateurs, et moi, je suis leur proie consentante.
"Monte, salope," grogne le brun en ouvrant la portière arrière. L’intérieur sent le cuir, la sueur, et une tension sexuelle qui me fait tourner la tête. Je grimpe, m’installe sur la banquette, coincé entre le brun et le blond. Le rasé prend le volant, mais ses yeux me dévorent via le rétro. À peine la portière claquée, le brun empoigne mes cheveux, tire ma tête vers son entrejambe. "T’attends quoi ? Suce." Sa voix est rauque, autoritaire. Je défais son jean, libérant une queue épaisse, veinée, déjà à moitié dure. Elle sent le mec, un mélange de musc et de désir brut. Je la prends en main, caresse la peau douce de son gland, puis l’enfourne d’un coup, avide, affamé.
Ma bouche s’active, langue qui tournoie, lèvres serrées autour de son manche. Il grogne, sa main appuie sur ma nuque, m’enfonçant jusqu’à ce que son gland bute au fond de ma gorge. J’étouffe, bave, mais je kiffe. Chaque passage de voiture sur la route fait monter l’adrénaline. Les phares balaient l’habitacle, et le blond, à ma gauche, me claque le cul à travers mon jean. "T’aimes ça, hein, petite pute ?" Ses doigts s’insinuent sous ma ceinture, arrachent presque le tissu. Il me fout à poil en deux secondes, ma queue raide claque contre mon ventre, mes couilles pendent, exposées. Il les attrape, les serre juste assez pour me faire gémir, la bouche pleine.


Le rasé, au volant, ricane. "Matez-moi cette salope, elle mouille déjà." Il gare la voiture sur un bas-côté, à l’abri des regards, mais pas trop. L’idée qu’on pourrait nous surprendre me rend dingue. Le blond me redresse, me plaque contre la banquette. Ses mains calleuses explorent mon cul, écartent mes fesses. "Putain, t’es serré," qu’il grogne en enfonçant un doigt sec, puis deux, sans ménagement. Je râle, le cul en feu, mais ma queue trahit mon plaisir, gouttant sur le cuir. Le brun, lui, continue de baiser ma bouche, ses coups de reins sont brutaux, sa bite cogne ma gorge à chaque poussée. "Avale tout, salope," qu’il ordonne, ses mots comme des gifles.
Le rasé descend du volant, ouvre la portière arrière. Il est déjà à poil, son corps mince mais musclé luit sous la lumière pâle du crépuscule. Sa queue est longue, fine, courbée, parfaite pour me démonter. Il crache dans sa main, lubrifie son manche, et sans préavis, s’enfonce dans mon cul. La douleur m’arrache un cri, étouffé par la bite du brun. Le rasé me pilonne, ses couilles claquent contre mes fesses, un rythme effréné qui me fait voir des étoiles. Le blond ...

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